27 septembre 2010
Ecrire
Ecrire. Le besoin irrépressible de laisser glisser les doigts sur le clavier ne se calcule pas, ne se gère pas, ne répond pas à une quelconque logique. Il apparaît et disparaît au gré de ses envies. Comme le bonheur et les doutes s'invitent par vagues...